Dans le département de la Dola, au cœur de la province de la Ngounié, l’issue des élections législatives semble presque déjà scellée. Selon les derniers indicateurs politiques recueillis dans la circonscription, Yves Fernand Manfoumbi, candidat du Parti démocratique gabonais (PDG), s’impose comme le grand favori avec un taux de confiance avoisinant les 97 %. Un score qui traduit non seulement son ancrage local, mais aussi la fidélité renouvelée des filles et fils de la Ngounié à son leadership.
Depuis plusieurs semaines, la campagne dans la Dola se déroule dans un climat de sérénité, loin des tensions observées dans d’autres départements. Cet apaisement, nombre d’observateurs le mettent au crédit du style politique de Manfoumbi. Homme de terrain, il a su convaincre par une approche de proximité, mêlant discours d’unité et actions concrètes en faveur du développement local.
Les habitants de la Dola saluent particulièrement son engagement constant pour les infrastructures de base, l’accompagnement des jeunes et la valorisation des cultures locales. « Avec lui, nous avons la garantie d’être entendus à Libreville », confie un notable du département, convaincu que le choix de continuité s’impose.
Face à cette adhésion quasi unanime, les adversaires politiques peinent à trouver leur espace. Certains parlent même d’une « élection verrouillée » tant l’écart semble irréductible. Mais pour les partisans de Manfoumbi, il ne s’agit pas d’un monopole, mais d’un plébiscite naturel, fruit d’une constance politique et d’une confiance forgée au fil des années.
À quelques heures du scrutin, le baromètre électoral de la Dola reflète donc une tendance claire : Yves Fernand Manfoumbi incarne, pour la majorité des électeurs, la stabilité et l’assurance d’un département calme et orienté vers l’avenir. Reste à confirmer dans les urnes ce soutien massif, qui pourrait faire de la Dola l’un des bastions les plus solides du PDG lors de cette échéance électorale.
