« À Mounana, Éric Gaël Myboto trace la voie d’une renaissance urbaine ,

Libreville, 24 août 2025 – Mounana, Département de Lébombi-Léyou, Province du Haut-Ogooué.

Bien loin du tumulte qui secoue actuellement plusieurs états-majors politiques autour des listes de candidatures aux élections législatives et locales de septembre 2025, Éric Gaël Myboto, candidat de l’Union Nationale (UN) pour le siège unique de député du district de Mounana, a choisi de s’attaquer au concret.

Certes, il n’est pas Alekseï Stakhanov, ce mineur soviétique qui, en 1935, avait pulvérisé les records de productivité en extrayant 102 tonnes de charbon en une nuit. Mais à Mounana, ancienne cité minière aujourd’hui marquée par la désindustrialisation, l’élan réformateur initié par Myboto lui vaut déjà l’image d’un « stakhanoviste politique ». Son engagement dépasse en effet le simple cadre d’une campagne électorale classique.

Désenclaver Mounana pour reconstruire la ville

Au sortir des festivités du 17 août, marquant les 65 ans de l’indépendance du Gabon, Éric Gaël Myboto a décliné une profession de foi singulière : il ne vient pas uniquement en quête de suffrages, mais comme un fils du terroir conscient de la déchéance progressive de cette cité jadis prospère. « Mounana doit renaître », répète-t-il à l’envi.


Fidèle à cette parole, il a entrepris d’importants travaux de désenclavement des quartiers de la commune. Des engins ont été mobilisés pour la réhabilitation de plusieurs artères : remise à neuf de voiries, aménagement de voies d’accès, création d’aires de stationnement, amélioration des voies piétonnes et curage des caniveaux. Autant d’actions qui redonnent souffle à une ville longtemps oubliée.

Une démarche saluée par les habitants

Sur le terrain, l’initiative ne passe pas inaperçue. Habitants et notables locaux saluent la volonté d’Éric Gaël Myboto de « joindre l’acte à la parole ». À leurs yeux, il incarne un leadership pragmatique, loin des promesses restées lettre morte.

À quelques semaines du scrutin, l’image d’un candidat « bâtisseur » se dessine. Reste à savoir si cet activisme suffira à convaincre l’ensemble de l’électorat. Mais déjà, à Mounana, certains murmurent qu’un nouveau souffle est en marche.

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